
Les audiences du procès pour cyberharcèlement s’achèvent ce mardi : pendant deux jours, les avocats de Brigitte Macron ont tenté de démontrer que le délit de harcèlement en ligne était bien constitué. À l’inverse, les avocats des dix prévenus, accusés d’avoir diffusé ou relayé une rumeur transphobe visant la Première dame, invoquent la liberté d’expression ou le droit à la satire. Voici ce qu’il faut en retenir.